Marie-Hélène Branciard

Après #Jenaipasportéplainte, le nouveau polar de Marie-Hélène Branciard.

Lorsque j’ai terminé #Jenaipasportéplainte, j’ai vite compris que je n’en resterai pas là. Mes personnages, dont la commandante Jourdan, allaient mener d’autres enquêtes. J’avais envie de les accompagner, de faire découvrir à mes lectrices et lecteurs d’autres aspects de leurs vies.
Les voici donc de retour dans Les Pixels Morts ! 
Outre Carole Jourdan, sa capitaine Sofia Arami, on retrouve Mafalda l’informaticienne hackeuse, Alice la pigiste, Solün, la photographe…
Les deux histoires sont indépendantes.
À la fin des Pixels Morts, une intrigue s’amorce que je développe en ce moment dans un troisième polar qui achèvera la trilogie Le mal que l’on nous fait.

RÉSUMÉ
Paris, 2019. 
Nomi, collégienne harcelée, Carole Jourdan, commandante de police en arrêt maladie et Fred, chômeur en fin de droits, se débattent pour reprendre pied.
Sur fond de canicule, d’attentat et d’enlèvement, leurs destins vont se croiser.
D’une séance de psy à un job-dating Pôle Emploi, une marche pour le climat ou un cours de guitare électrique… on suit les déboires de ces personnages, bientôt rejoints par d’autres : Mafalda l’informaticienne surdouée, Storm, le facteur lanceur d’alerte,
Roberta, la coiffeuse… tous solidaires pour déjouer les plans de mystérieux kidnappeurs.

L’histoire est construite en cours chapitres qui mettent en scène alternativement chacun des personnages principaux : 
• Carole Jourdan se remet difficilement d’un attentat dans lequel elle a perdu son mari et été grièvement blessée. Sofia Arami, sa fidèle capitaine, la sollicite pour l’aider à retrouver une adolescente disparue. Une enquête classée sans suite par un de ses collègues, mais que Sofia mène en solo pour rendre service à une amie. Elle espère également remettre sa commandante sur les rails avec cette affaire.
• Nomi, adolescente lesbienne, victime de harcèlement au collège, résiste tant bien que mal aux agressions en écrivant des chansons et en apprenant à jouer de la guitare. Récemment outée,  elle doit en plus affronter l’hostilité de sa mère. Alors qu’elle devait prendre un cours de guitare avec Tof, son grand-frère adoptif, elle disparaît.
• Fred, ex-comptable, arrive en fin de droits et se fait expulser de son appartement. Sauvé de la rue de justesse par Fanny, sa voisine et amie, il se retrouve en résidence sociale. En attente d’un boulot, obligé de partager sa chambre avec Simon, un pépère encore plus dans la mouise que lui, il désespère. La rencontre de Nico, un voyou sympa qu’il a dépanné autrefois, va lui faire accepter un job très particulier…

Cliquer ICI pour lire les premières pages.

Les Pixels Morts – Marie-Hélène  Branciard – 312 pages, format 14 x 21 cm • Prix public : 18 € – ISBN : 978-2-9585073-0-5 • Novembre 2022

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OÙ LE TROUVER ?

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DES AVIS ENTHOUSIASTES

Une enquête haletante
L’autrice n’hésite pas à mettre l’accent sur la psychologie profonde de ses personnages attachants qu’on prend plaisir à suivre dans cette enquête haletante.
Les Chroniques du Polar – 27 août 2023

Une histoire captivante et rythmée
Avec Les pixels morts, Marie-Hélène Branciard met en scène les personnages féminins de son premier polar #jenaipasportéplainte.
Une histoire captivante, construite sur de courts chapitres qui donnent le rythme jusqu’au dénouement.
Marie-Laure Sifferlen • Blog mafolielivresque.com • 4 juillet 2023

Un roman noir lucide et engagé
Marie-Hélène Branciard dédicacera son dernier polar intitulé « Les pixels morts ». Suspense, rythme effréné, personnages attachants, ce roman noir lucide et engagé dissèque avec avec brio les dérives violentes qui minent notre société.
Yannick • La Fnac Dole – 23 mai 2023

Écriture fluide, bien dans l’époque…
Pixels Morts terminé. J’ai beaucoup aimé.
Des héroïnes lesbiennes, c’est tellement rare. Histoire bien menée, un bon rythme, un peu de suspense, écriture fluide.
Bien dans l’époque avec plein de références. Top.
Cécile P. – 26 avril 2023

Une belle brochette de personnages attachants!
Quel plaisir de retrouver dans ce roman ceux que j’avais découverts dans #Jenaipasportéplainte il y a quelques années déjà.
Comme dans son précédent roman, l’auteure rappelle le droit à la différence. le droit à la liberté sexuelle des femmes et des LGBT et à leur épanouissement dans cette société encore trop patriarcale. Pas étonnant ici que les femmes soient en vedette même si elles sont rejointes par des hommes de conviction dans ce réseau ADN aux multiples ramifications et aux multiples talents. (…) on se laisse prendre par cette histoire avec une belle brochette de personnages attachants.
RomansNoirsEtPlus – 27 mars 2023

Un polar qui fait du bien
J’avais noté dans mon avis sur #jenaipasportéplainte, le polar précédent où l’on découvre plusieurs personnages de celui-ci (…) un côté « club des cinq pour adulte » qui m’avait beaucoup plu. Je l’ai retrouvé ici – ils sont plus que 5 – ce réseau de solidarité qui agit à côté des autorités en utilisant les compétences informatiques et le courage, et c’est ainsi que ce livre est un polar qui fait du bien alors qu’il aborde tout un panel de violences faites aux femmes et pas seulement.
On suit des personnages attachants, à la marge du monde pour des raisons différentes, qui vivent avec des chagrins, des colères ou des peurs, qui aiment une femme ou un homme ou personne, on espère qu’ils vont s’en sortir d’une manière ou d’une autre. Et on croise des références (musique, série, livre) qui font sourire quand on les connait et sinon ce n’est pas grave. Bref, une de ces bonnes lectures qui donnent envie d’être de la bande même quand le livre est refermé.
Norlane Deliz • Babelio • 21 mars 2023

Des personnages terriblement attachants, drôles, vifs
On suit avec plaisir les aventures des personnages qui sont terriblement attachants (…) drôles, vifs, qui ne peuvent rentrer dans les petites cases de la société et choisissent une autre voie extravagante, excentrique, sous les radars s’il le faut, dans un réseau qui préfère rester invisible, un peu comme les sorciers de Poudlard se cachent des Moldus.
Flore Delain – Blog En lisant, en écrivant – 16 mars 2023

Une enquête hors des sentiers balisés menée tambour battant
Des personnages attachants à la psychologie bien décrite, une enquête hors des sentiers balisés menée tambour battant.
Une très bonne lecture qui se lit toute seule et que je vous invite à découvrir avec plaisir traitant de sujets complètement d’actualité, bien dosés et qui a priori aura droit à une suite amorcée par l’épilogue.
@cec.tessa.liam – Instagram – 15 mars 2023

De la good job !
Je l’ai fini hier. C’est vraiment de la good job comme disent les Canadiens !
Encore merci pour l’envoi de ton roman. Contente que tu te sois attelée à l’offrir à tes lecteurs. Ce second volet [après #Jenaipasportéplainte] m’a captivée. Je suis toujours impressionnée par ta façon de traiter, évoquer des sujets hard sans être plombante.
Et moi, lectrice paresse, qui n’aime pas les notes bas de pages, les tiennes m’ont intéressées.
En tout cas, j’aime toujours autant ton univers. Nomi est bien incarnée, super vivante et attachante. Le personnage de Fred, dans la mouise, eh bien, sa loose et la sortie de ça, est réussi. Un type humain ni saint ni crapule. C’est heureux que Carole le remarque, parce que Bog, non mais…
Christophe-Geraldine Metral autrice du blog Les vagabonds sans trêves

ATTENTION, les pixels morts est un polar qui va vite et qui frappe fort ! Accrochez-vous !
Second livre que je lis de l’autrice et que j’ai bien fait ! J’ai retrouvé avec tellement de plaisir toutes ces femmes attachantes. Ces femmes solidaires. Unies par le même but. La justice ou plutôt, la lutte contre l’injustice. Que ça fait du bien cette sororité ou la testostérone est absente. N’y voyez pas un excès de féminisme de ma part. L’autrice donne le leadership aux femmes sans jamais tomber dans la caricature et que j’aime ça ! Pas besoin de gros macho, tout est crédible. Au milieu de toute la détresse humaine, l’autrice n’en oublie pas l’humour.
@lafilleenrose.06 – Instagram – 21 février 2023

Les Pixels Morts, histoire enlevante qui contribue à la lutte légitime contre toute forme d’homophobie…
Marie-Hélène Branciard (…) propose avec Les Pixels morts, le deuxième volet d’une trilogie de polars mettant en scène les personnages féminins très colorés de #Jenaipasportéplainte publié en 2017 et que j’avais bien aimé. Une histoire enlevante construite sur une enfilade de courts chapitres qui donnent au récit le rythme bien senti de l’enquête en progression. Carole, Sofia, Alice et Mafalda sont secondées par les membres d’un réseau clandestin qui maîtrise les technologies avec une efficacité surprenante. (…) Les Pixels morts se démarque par son affirmation identitaire lesbienne et contribue à la lutte légitime contre toute forme d’homophobie qui se fabrique et repose sur la peur. Comme celle de Liliane, la mère de Nomi, la victime de l’enlèvement récemment sortie du placard.
Polars et Romans noirs etc. • 10 février 2023

Les Pixels Morts, un polar ébouriffant et joyeux
Parce que oui, il existe des polars qui vous font rire , marrer, et pour ça, j’en remercie pleinement l’auteure, surtout quand c’est greffé à une fort belle écriture!
Blog Polarmaniaque – 3 février 2023

Un polar que je recommande à 200 %,
Des personnages à la fois attachants et troublants, une narration qui vous emporte dans une lecture captivante.
Isabelle L. – Twitter – 24 janvier 2023

Les Pixels morts, polar engagé contemporain
Personnages issus de la communauté LGBT, geeks, flics et autres marlous plus ou moins féroces se croisent et se traquent dans un ballet improbable et périlleux pour notre plus grand plaisir de lecteur – et de lectrice.
Le suspense, présent dès le départ, atteint son paroxysme dans le dernier tiers du roman et nous laisse haletant.es, prêts à suivre d’autres aventures de la commandante Carole Jourdan et de son équipe si peu conventionnelle. »
Sylvie Callet • Facebook – 10 décembre 2022

J’ai apprécié la peinture des personnages, leurs relations, leurs personnalités et leur originalité.
J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce manuscrit prometteur. Au-delà de l’intrigue à rebondissement, j’ai apprécié la qualité du style, d’abord, et surtout la peinture des personnages, leurs relations, leurs personnalités et leur originalité. Je dirais que j’ai été intéressé et touché parfois par leur vérité. Bonne chance à ce roman. »
Pierre Baizet qui a relu et corrigé « Les Pixels Morts » – Janvier 2020